Dans la galerie vitrée qui sépare la future église Saint-Sauveur du second bâtiment adjacent, Daniel Berrest, fraîchement retraité après une carrière dans le secteur bancaire, guide Jean-Pierre Abadie pour lui montrer l’avancée des travaux. Ce dernier, professeur d’espagnol d’une quarantaine d’années, se laisse conduire sous la surveillance attentive de son chien d’aveugle, un golden retriever qui ne se laisse pas perturber par le chantier environnant. Jean-Pierre Abadie touche les murs et les portes de la main, et affiche un visage satisfait.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique