« Toulouse l’été, c’est un peu un four !, s’exclame Amélie, la quarantaine, éventail à la main. J’ai rasé les murs pour avoir un peu d’ombre. » Même constat pour Albert, rencontré quelques rues plus loin : « Ça fait plusieurs années que je ne sors plus aux heures les plus chaudes, explique le septuagénaire, accompagné de sa petite-fille. Aujourd’hui, on achète juste une glace et on remonte à la maison retrouver le ventilo ! »
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