Reportage
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Lors d’une manifestation à Toulouse, dimanche 27 février.
Fred Scheiber / SIPA
À Lille, Toulouse, Nice ou La Seyne-sur-Mer, des communes françaises jumelées avec des villes ukrainiennes, élus et associatifs sont mobilisés pour trouver des abris d’urgence aux populations menacées. Cette solidarité a parfois devancé l’invitation du gouvernement adressée aux maires le 1er mars, pour préparer l’arrivée des réfugiés.
Le portable de Martine Aubry sonne sans discontinuer. Les dernières nouvelles de Karkhiv, ville d’Ukraine avec laquelle Lille est jumelée, sont désastreuses. Dans la journée du 1er mars, au moins 18 civils ont trouvé la mort dans des bombardements.
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