C’est encore l’heure du petit déjeuner, mais on s’active déjà au sein du Village de François. Tous les 70 habitants de l’abbaye Sainte-Marie du Désert, nichée dans la campagne vallonnée à une trentaine de kilomètres de Toulouse, ne sont pas présents en ce dernier samedi des vacances de Pâques. Mais, entre les résidents restés sur le site, les personnes venues là pour faire une retraite, et les visiteurs du jour, règne une certaine effervescence dans les couloirs labyrinthiques du lieu qui contraste avec la grise austérité d’une matinée pluvieuse.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique