Vainqueurs à Créteil (26-37) ce samedi à l’issue de la dernière journée de la Starligue, les joueurs du Fenix Toulouse ont définitivement assuré la 4e place et leur qualification en Ligue européenne pour la deuxième saison consécutive. Une performance majuscule pour le 12e budget du championnat !
Créteil 26 – Toulouse 37
MT : 11-19 ; arbitres : MM. Rahim et Belabbes.FENIX TOULOUSE.- Gardiens : Lettens (30 minutes, 10 arrêts dont 1/2 pen.), Möller (30 minutes, 9 arrêts dont 0/3 pen.).Buteurs : Giraudeau (3/5), Feuchtmann (6/10), Nyembo (4/5), Doniecki (1/1), Marmier (1/1), Robert (1/1), Diallo (1/1), Mitrovic (1/1), Kojadinovic (3/4), Brolin (5/7), Ilic (cap., 11/13 dont 2/2 pen.), Gougeon, Discamps, Mindegia.
Il n’y a pas eu de suspense, samedi soir, à Créteil où le Fenix Toulouse s’est imposé largement à l’occasion de la dernière journée de la Starligue. Pour les troupes de Danijel Andjelkovic, la mission était simple : gagner pour s’assurer la 4e place et valider l’accès direct à la Ligue européenne sans passer par un tour préliminaire à la fin de l’été.
Les coéquipiers de Nemanja Ilic ont été à la hauteur des attentes de leur staff et n’ont pas fait planer le moindre doute quant à l’issue de cette dernière confrontation de la saison.Sérieux, appliqués, ils n’ont jamais été inquiétés par des Cristolliens qui évolueront en Proligue la saison prochaine. Huit longueur d’avance à la pause (11-19), onze au final (26-37), le Fenix a déroulé son jeu pour s’adjuger pour la deuxième saison de suite cette 4e place au classement derrière le trio des gros bras : Paris, Nantes et Montpellier.
12e budget, 4e au final !
Une performance majuscule pour le club toulousain qui, rappelons-le, ne dispose que du 12e budget de la Starligue. La récompense d’un jeu collectif imaginé par l’excellent tacticien Danijel Andjelkovic qui n’a pas son pareil pour tirer le meilleur de son effectif. Une performance d’autant plus remarquable que les Toulousains n’ont pas été épargnés par les blessures en cette fin de saison où, dans le money time, ils ont perdu successivement Maxime Gilbert (tendon d’Achille), Martins Gonçalo Vieira (tendon d’Achille) puis Edouard Kempf (pubalgie), Casper Käll (épaule) et enfin Téo Jarry (genou), mercredi dernier face à Dunkerque ! Dans la tempête, le Fenix n’a pas sombré. Sauvé par la qualité de son jeu et le formidable état d’esprit qui anime ce groupe.