L’enseigne scandinave Bolia de mobilier design s’est installée rue Croix-Baragnon, remplaçant l’emblématique boutique Vuitton, fermée début 2025. Une enseigne de qualité mêlant élégance et éthique.
C’est la première enseigne Bolia, d’origine scandinave, dans le Sud-Ouest. Installée au 39 rue Croix-Baragnon à Toulouse, elle remplace Vuitton, emblématique boutique de luxe fermée en début d’année. Ce show-room de 280 m², étendu sur trois niveaux, propose des meubles en chêne massif, de la vaisselle et de la verrerie, des luminaires et des miroirs, sans oublier le bien-être avec une gamme d’accessoires (trousse de toilettes, crèmes, parfums d’ambiance, etc).
Aux manettes de cet univers épuré, Jonathan Bessede, un touche à tout curieux : « C’est ma première boutique Bolia, explique-t-il. J’ai connu différents univers dont le dernier, le prêt à porter avec les doudounes Jott, bien loin du mobilier design. » D’emblée, par appétence de la mode et de la décoration, ce manager a aimé l’esprit Bolia. « Bolia permet à chacun de personnaliser son intérieur via une centaine de tissus pour canapé déclinés entre le gris et le beige et une gamme de couleurs nouvelles de rose, vert amande et bleu lagon. Sans oublier la grande nouveauté des tissus rayés ».
Une enseigne élégante et éthique
Née il y a vingt-cinq au Danemark, Bolia est rapidement devenue une référence en Europe du Nord. Une enseigne qui, depuis quelques années, s’étend aussi dans l’Europe du Sud. « Ce sont des modèles simples et basiques qui, tant le mobilier que l’art de la table, séduisent, estime Jonathan Bessede. Ils épousent l’air du temps, respectant l’environnement, l’éthique et le durable et délaissant le consommable et tout jetable ».
Intemporel, de qualité et labellisé, l’esprit design scandinave est tendance avec des pièces fabriquées en Europe par des designers européens. « Bolia donne toujours un plus à ses articles, une touche de design orignal. Cet esprit distingue et valorise la marque, estime le manager. Toulouse attendait cette boutique. D’ailleurs nombre d’entre eux se rendaient à Bordeaux ou Paris pour la trouver ». Selon lui, les Toulousains consomment différemment ces dernières années, laissant la place à l’achat réfléchi plus que l’achat plaisir.