C’est une fine connaisseuse de Toulouse. Arrivée en tant que directrice de la fédération des associations de commerçants, artisans et professionnels en décembre 2023, Sandrine Rossignol travaille chaque jour auprès de ceux qui font vivre la ville. Voici ses bonnes adresses.
Un parcours dans le commerce
Passée par le lycée toulousain du Caousou, Sandrine s’est très vite dirigée vers un parcours en école de commerce, au sein de la — bien connue — « Toulouse Business School ». En tant qu’étudiante, elle s’envole en parallèle pour les États-Unis, direction l’université du Minnesota pour étudier durant un an le management.
Un parcours international qui lui a permis de travailler durant quelques années à New York, Miami ou encore Los Angeles. Rentrée en France, elle s’installe dans le sud est, puis revient à Toulouse en 2015.
Au service des commerçants
Après quelques postes en tant que manager, en décembre 2023, Sandrine succède en tant que directrice de la fédération, à Guillaume Duval, désormais passé président. Ça a été un travail de long allène pour trouver celle qui allait reprendre le flambeau.
Parce qu’à la fédération des commerçants, le travail n’est pas toujours simple… il faut avoir les épaules pour l’endurer ! « Chaque jour, on travaille sur les problématiques des commerçants, on rencontre des élus, on cherche comment dynamiser le centre-ville… Il faut être innovant, parler aux jeunes et comprendre ce que les professionnels nous disent », explique-t-elle. Tous ces efforts pour parvenir à ce que le commerce de la Ville rose se porte au mieux.
Les événements au cœur de la Fédé
Autre point important du travail de Sandrine et de la fédération en général, « ce sont les évènements que nous organisons. Que ce soit l’élection de la meilleure saucisse de Toulouse, la grande braderie, ou très prochainement la deuxième édition de Toulouse commerce en fête« , des moments de travail intense pour continuer de porter l’action sur Toulouse.
Des défis quotidiens
Souvent sur le terrain, « je vais à la rencontre des commerçants et je discute avec eux ». Des moments nécessaires pour appréhender le centre-ville et mener ensuite des actions comme il y a peu avec le démantèlement d’un squat rue Saint-Rome.
Toutes ces interventions permettent à Sandrine de connaitre la ville comme sa poche !
Ses bonnes adresses
Voici les bonnes adresses de Sandrine Rossignol à Toulouse :
Un restaurant : Aiko
« C’est un petit restaurant bistronomique Japonais que j’adore. À chaque fois que j’y amène quelqu’un, on me répond ‘mais c’est extraordinaire’. Tout est fait maison. De l’entrée au dessert, c’est super sympa ».
Une place : Saint-Georges

« Ce n’est pas le lieu le plus recherché, mais ça me rappelle tellement de souvenir de quand j’étais jeune. J’allais prendre des cafés au bar le Coup de Bambou — qui a rouvert l’été dernier après son rachat par un nouveau groupe —. On était tous là-bas à l’époque ».
Un jardin : le Jardin des plantes
« Ce jardin en particulier pour les gaufres et les crêpes au Nutella du petit kiosque. J’y amenais ma fille quand elle était petite puis on allait jouer sur les balançoires en forme de bateaux. On se mettait dessus et on poussait fort pour aller haut ! C’est un endroit où tu retombes immédiatement en enfance ».
Une rue : la Grande rue Saint-Michel

« On associe beaucoup cette rue aux travaux, alors qu’il y a tellement de commerçants bienveillants et gentils tout du long de cette rue. Elle est très cosmopolite. C’est un endroit où je n’allais pas souvent, mais nous avons créé une association de commerçants, il n’y a pas longtemps. J’ai été bluffé par ces gens, leur gentillesse, la qualité des produits qu’ils vendent… »