Difficile d’imaginer que ce petit escalier raide et austère, qui conduit aux coulisses, jouxte une salle aussi prestigieuse et aussi fastueuse que le Musikverein de Vienne… Durant plusieurs jours, entre répétitions et concerts, les instrumentistes de l’Orchestre national du Capitole de Toulouse en ont gravi les marches pour gagner leurs loges avant de monter sur l’illustre scène autrichienne, face à un public que l’on dit parmi les plus exigeants au monde.
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