Une information de la plus haute importance. Alors qu’un exercice de sécurité civile se déroulera dans les départements des Hautes-Pyrénées et de la Haute-Garonne ce mercredi 30 avril, le préfet de Tarn-et-Garonne Vincent Roberti a confirmé, mardi 29 avril, qu’une partie de sa population pourrait également être concernée.
Simulation de la rupture du grand barrage de Cap de Long
Selon les informations communiquées par le représentant de l’État, cet exercice dit « de crise » aura pour objectif de « simuler la rupture du grand barrage de Cap de Long« .
Par conséquent, et dans le cadre de ce dernier, le préfet de la Haute-Garonne testera l’alerte à la population sur 71 communes par l’onde de submersion durant l’après-midi de ce mercredi 30 avril :
- via les 36 sirènes « SAIP » (Système d’alerte et d’information des populations)
- via le dispositif Fr-Alert
Mais, « par effet rebord, certains habitants du sud du département de Tarn-et-Garonne pourront être concernés par la réception d’un message d’alerte diffusé par SMS sur les téléphones portables« , a poursuivi Vincent Roberti.
Ce message est précédé de la mention ‘Exercice’ et n’appelle aucune action de la part des habitants concernés”, détaille-t-il.
Les sirènes d’alerte entendues jusque dans le Tarn-et-Garonne ?
Alors que certains Tarn-et-Garonnais risque de recevoir un message, d’autres seront susceptibles d’entendre les sirènes d’alerte testées au cours de ce même exercice.
Toujours selon le préfet de Tarn-et-Garonne, les sirènes vont retentir afin de vérifier leur bon fonctionnement et ainsi permettre à chacun de se familiariser avec les signaux et messages d’alerte.
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