Trahi par son ADN laissé sur les draps, un homme condamné pour l’agression sexuelle de sa voisine

Les faits remontent à la nuit du 11 septembre 2024. Une femme est victime d’une agression sexuelle alors qu’elle dort chez elle. Son voisin vient d’être condamné à 5 ans de prison dont un avec sursis. Il a fini par être confondu par son ADN.

La victime avait de forts soupçons sur l’identité de son agresseur. Les voici confirmés. Ce mardi 27 mai 2025, un homme a été jugé et condamné pour agression sexuelle. Il était le voisin de la victime et s’était introduit, chez elle à Labarthe-sur-Lèze (Haute-Garonne), dans la nuit du 11 septembre 2024.

L’agression sexuelle s’est déroulée dans la nuit. Une habitante de Labarthe-sur-Lèze s’est endormie chez elle, en laissant une porte ouverte. Un homme en profite, arrive jusqu’à son lit, se déshabille et va forcer sa victime à une masturbation. Il finit par éjaculer dans les draps.

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L’agression se poursuit par des coups. L’homme frappe à plusieurs reprises sa victime au visage et corps avant de prendre la fuite. La victime n’a pas vu son agresseur, mais elle soupçonne fortement son voisin. L’enquête va finir par lui donner raison, neuf mois plus tard : des analyses génétiques réalisées confondent l’homme qui est déjà connu de la justice.

L’homme a été jugé, en comparution immédiate, ce mardi 27 mai 2025. Devant les juges, il a déclaré ne se souvenir de rien concernant cette nuit-là. Il aurait consommé de l’alcool et de la cocaïne le soir des faits.

Pas vraiment convaincant. Le voisin a écopé de cinq ans de prison dont un an avec sursis probatoire renforcé. Il est maintenu en détention et devra se soumettre à des soins. Il a également interdiction d’approcher sa victime et va être inscrit au Fijais, le fichier des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes.