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Accueil » un roman sur la précarité, la prostitution, la quête de soi et le deuil d’un étudiant homosexuel

un roman sur la précarité, la prostitution, la quête de soi et le deuil d’un étudiant homosexuel

25 juin 2025 — FRANCE3 REGIONS

Étudiant, le narrateur de « Photo sur demande » se prostitue pour survivre, oscillant entre désir, amour et précarité. Marqué par la mort de son père, il s’interroge sur sa vie, ses blessures et son identité, menant une quête de sens à travers l’enquête sur une mystérieuse photographie. Simon Chevrier a obtenu le prix Goncourt du premier roman. Il participe au Marathon des mots à Toulouse.

L’essentiel du jour : notre sélection exclusive

Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l’info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.

« À propos de moi. Étudiant en langue, amant sur mesure pour hommes cultivés. Prix et photos sur demande. » (Extrait)

Le premier roman de Simon Chevrier, Photo sur demande, dresse le portrait intime d’un étudiant à Toulouse, qui, confronté à la précarité matérielle se tourne vers la prostitution occasionnelle pour subvenir à ses besoins. C’est un homme moderne. Il lui suffit d’allumer les applications Grindr ou Giton pour faire des rencontres éphémères.

D’une certaine façon, et pour me rassurer, je me dis que les passes me permettent au moins de me sentir vivant.

Extrait de « Photo sur demande »

La frontière entre désir, besoin d’amour et survie économique est bien floue. « D’une certaine façon, et pour me rassurer, je me dis que les passes me permettent au moins de me sentir vivant. »‘ Le jeune traîne sa mélancolie, sa quête de sens. Il n’a pas confiance en lui. « J‘ai trop l’habitude de regarder vers le bas, mes pieds quand je marche au lieu de fixer l’horizon. »

La maladie puis la mort de son père l’interrogent. « J’ai toujours eu le sentiment de n’avoir pas réussi à te plaire. » Une mort qui va obliger le narrateur à l’introspection, à une remise en question.

Le jeune homme tente de comprendre sa propre histoire, ses blessures et ses aspirations. Comme il enquête sur la photographie de cet homme en position assise, l’orteil avalé et le corps entièrement nu. Qui est-il ? Qu’est-il devenu ?

Confronté au covid et au sida comme tous les jeunes de sa génération, va-t-il jouer son avenir à pile ou face ? « Pile, j’abandonne. Face, je continue. »

Simon Chevrier sera au Marathon des mots à Toulouse :

  • Lecture le jeudi 26 juin à 19h30 salle du Sénéchal.
  • Rencontre à la librairie Ombres blanches, animée par les étudiants du Master Création littéraire le vendredi 27 juin à 11h00

Livre "Photo sur demande" Simon Chevrier

Livre « Photo sur demande » Simon Chevrier • © Editions Stock

C’est l’histoire d’un homme en quête de sens, mais aussi à fleur de peau. Qu’avez-vous souhaité montrer ou raconter avec ce premier livre ?

 C’est une inspiration autobiographique. Je commençais à m’intéresser à l’écriture. Je lisais beaucoup et je me suis dit qu’il y avait peut-être quelque chose à faire autour de ça. À l’époque, je lisais beaucoup de romans où il y avait des passages à vide et ça m’intéressait de fouiller ça par l’écriture.

J’ai ressenti beaucoup de mélancolie. Est-ce que je me trompe ou pas?

 Vous ne vous trompez pas, au contraire. Forcément ce n’est pas très, très joyeux. En même temps, je n’avais pas envie non plus que ce soit misérabiliste. Donc il fallait trouver un ton, un ton en adéquation avec le sujet et avec l’époque également, qui était post-Covid.

 

La génération post-Covid, qui n’est pas épargnée non plus par le sida

Le rapport entre les deux est arrivé de manière finalement assez fortuite. Mes préoccupations personnelles se sont mélangées aux préoccupations de la société ou de ce qu’on a tous vécu au même moment. Oui, c’est plutôt un malheureux hasard.

Il y a la colère de l’injustice.

Je parlais de mélancolie, mais il y a aussi beaucoup, beaucoup de colère dans votre personnage.

Évidemment, il y a la colère de l’injustice de rencontrer le deuil, on va dire, enfin la préparation au deuil, pour ce jeune. Il y a également de la précarité étudiante qui arrive d’un coup, l’injustice aussi face aux exigences des patrons quand on essaie de postuler à un travail mal payé et puis tout ce qui nous est demandé en retour et qu’on doit faire sans broncher.

C’est aussi un personnage qui n’a pas une très haute opinion de lui, qui n’a pas confiance en lui.

Voilà, c’est quelqu’un qui, au bout du compte, ne sait peut-être pas trop comment se sortir de la vie qu’il a à ce moment-là. Il doute constamment, sur ses relations amoureuses, sa situation professionnelle. Je crois que c’est un roman sur le doute également.

Il doute constamment.

« On avait beau ne pas être si proche, il n’empêche que j’ai l’impression de perdre une partie de moi « . Quand son père décède, il a beaucoup de regrets. Là aussi, il a manqué quelque chose ?

Avant que mon père tombe malade, j’avais l’impression de pas avoir le temps de le connaître finalement en tant qu’adulte. J’aurais aimé qu’il puisse me voir grandir en fait, et qu’il soit fier et puis ça, ça n’a été possible.

J’avais vingt-quatre ans quand il est décédé. Depuis quelques mois, je savais qu’il allait mourir. Je me souviens bien. J’avais l’impression que l’innocence de ma jeunesse me préservait de la réalité des choses. Je me sentais un peu comme dans une bulle et puis la bulle a éclaté d’un coup.

L’histoire de la photo du modèle revient très, très régulièrement dans l’ouvrage. Ce personnage en position assise, qui avale son orteil. Qu’est-ce qu’il faut y voir ?

En fait, il y a trois personnages importants dans ce livre : le narrateur, le père et le modèle. Le père va partir et il a envie de laisser une trace, c’est pour ça qu’il fait cette vidéo pour ses enfants et sa famille, l’envie de laisser une trace de lui. Et en fait, avec cette photo de ce modèle, je me suis rendu compte que la trace, en ce qui le concernait, n’existait pas vraiment. Il n’y avait que son image, sans que son identité soit reliée avec cette image. Et je trouvais ça assez percutant et puis triste jusqu’à ce que j’essaie de la retrouver.

Finalement, la fin de cette histoire se joue à pile ou face. Pile, j’abandonne, face, je continue. Pourquoi ?

 En fait, on rentre un peu dans la fiction. Pour moi, la fin de cette expérience ne s’est pas exactement passée de cette manière. Mais je crois que c’est un peu aussi une symbolique de se dire ou on continue à ne pas s’écouter, à foncer droit dans le mur ou on essaye de trouver une manière de faire quelque chose. Le pile ou face, c’était ça, on continue à vau-l’eau ou il y a des choix à faire.

Le Goncourt du premier roman : c’est une très belle reconnaissance.

Il y a six mois, vous étiez quelqu’un de totalement inconnu. Vous obtenez le prix Goncourt du premier roman pour votre premier livre. Comment gérez-vous cette nouvelle notoriété ?

Ça ouvre des portes, clairement. Que ce soit au niveau de la presse, que ce soit les ventes, les traductions. Il y a une traduction en espagnol qui est tombée vingt-quatre heures après avoir eu le Goncourt. Ça change quand même pas mal de choses. C’est une très belle reconnaissance.

Lorsque vous avez terminé ce livre, la photo sur demande, c’était un soulagement?

Le point final n’a jamais vraiment été un point final parce que tout simplement, une fois que j’ai fini la version 1, j’étais très content, mais je savais qu’il fallait que je retravaille derrière. Ce qui n’a pas manqué, quand je l’ai envoyé aux éditeurs. Ils m’ont tous répondu très vite. Ça, c’était plutôt pratique et agréable, que c’est un texte qui a beaucoup de potentiel, mais il y avait des trous narratifs. Finalement, le point final, il est vraiment apparu peut-être deux semaines avant de signer avec Stock.

Un prochain livre ?

Oui, il est déjà prêt. Il est accepté par mon éditrice. C’est juste que là, avec le Goncourt, on ne va pas mettre la charrue avant les bœufs. On va laisser le temps que déjà que celui-ci vive en librairie cet été et peut-être même à l’automne. Et puis après, il faudra mettre un peu de temps. Donc, je pense qu’il ne sortira pas avant deux ans.

Toulouse est une ville qui me manque énormément.

Vous serez cette semaine à Toulouse pour le Marathon des mots. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

 Je suis extrêmement content parce que comme je le raconte dans le, dans le livre, la genèse de l’écriture est venue là-bas, en habitant dans cette ville. Et d’y revenir à cet égard, moi, ça me fait extrêmement plaisir. Et puis, c’est une ville qui me manque énormément. Alors, pour être honnête, pas tellement la chaleur du Sud, mais je trouve que c’est une ville qui est très riche et où j’ai, au final, vécu quand même des moments assez extraordinaires. Je suis vraiment très content d’être invité au Marathon des mots. J’ai vraiment hâte.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse

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