« J’attends que notre évêque réagisse », commente un prêtre du diocèse de Toulouse à la suite du communiqué, le 10 août, de la présidence de la Conférence des évêques de France invitant Mgr Guy de Kerimel, archevêque de Toulouse, « à reconsidérer (sa) décision (…) quant à la nomination du chancelier de son diocèse ». En cause, la nomination, le 2 juin, du père Dominique Spina – condamné en 2006 pour viol sur mineur –, décision que l’archevêque avait justifiée un mois plus tard au nom du principe de « miséricorde », provoquant un tollé dans son diocèse et au-delà.
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