Pour rejoindre l’appartement de Samuel Sandler, à l’ouest de Paris, on peut traverser la « forêt domaniale des Fausses-Reposes », d’après le « faux repos » qu’offraient ses bosquets et replis aux animaux pourchassés par la meute. Il fait grand bleu et grand froid en ce matin d’hiver. Il fait silence aussi, loin des bouchons de la capitale. À la radio, Maxime Le Forestier chante : « Comme un arbre dans la ville/Pour pousser, je me débats ».
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