À première vue, il ne s’agit que d’une question d’apparence. Plus profondément, dans une lettre adressée le jeudi 2 juin aux séminaristes du diocèse de Toulouse, Mgr Guy de Kerimel dresse le portrait-robot d’un prêtre, « identifié et reconnu par sa sainteté, son esprit de service et la qualité de sa relation pastorale avant tout ». Autrement dit, ce n’est pas la soutane ou le col romain qui fait le prêtre, mais « la charité pastorale » à vivre dès le séminaire.
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