• Skip to primary navigation
  • Skip to main content
  • Skip to primary sidebar
  • Skip to footer

Ô Toulouse News & Infos Toulouse

Un site utilisant WordPress

  • NEWS TOULOUSE
    • LA DEPECHE TOULOUSE
    • FRANCE BLEU
    • ACTU.FR
    • 20 MINUTES
    • FRANCE3 REGIONS
    • LE JOURNAL TOULOUSAIN
  • @
Accueil » les dernières aventures du commandant Servaz et son combat pour l’accès au livre en braille, l’écrivain Bernard Minier nous dit tout

les dernières aventures du commandant Servaz et son combat pour l’accès au livre en braille, l’écrivain Bernard Minier nous dit tout

21 avril 2025 — FRANCE3 REGIONS

« H ». « H comme Hirtmann ». Autrement dit le retour de Martin Servaz et de son « meilleur ennemi ». Mais le commandant de police de Toulouse n’est plus seul à ses trousses. Bernard Minier, l’écrivain aux 8 millions de livres vendus, nous propose le 9ème volet des enquêtes de son flic fétiche et affirme son soutien au développement du livre en braille.

Société

De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.

« Hirtmann est à vos trousses, commandant. Il n’est pas loin. Il est tout prêt. Vous ne le voyez pas, mais lui vous voit. Il attend son heure. La question, c’est : pour quoi faire ? Quelles sont ses intentions ? Pourquoi est-il revenu ?  » (Extrait de H)

Il est suspecté du rapt et du meurtre d’une quarantaine de femmes. Julian Hirtmann s’est évadé d’une prison en Autriche et il est suspecté d’être de retour dans les environs de Toulouse. Martin Servaz et sa famille sont placés sous protection.

Les temps changent, commandant …

Les nuits du commandant de police judiciaire ne seront plus calmes. Et le métier a évolué. « Les temps changent, commandant, les choses qui étaient permises naguère ne le sont plus aujourd’hui, les anciennes idoles sont abattues. On fait place nette, on assainit, on hygiénise, » lui lance son supérieur. 

La région est de nouveau le théâtre de crimes. Qui enlève et tue les filles aujourd’hui ? Il faut retrouver Julian Hirtmann, le plus célèbre des tueurs en série, s’il en est bien l’auteur…

Mais Martin Servaz n’est pas le seul à enquêter. Il doit composer avec un écrivain en quête de gloire, une journaliste, dont un confrère s’est suicidé alors qu’il enquêtait sur des disparitions, un club de détectives amateurs sur internet, les « web sleuthers » et un présentateur vedette d’un célèbre talk-show Tv prêt à tout pour interviewer Hirtmann. Il faut démêler le vrai du faux. Le chaos et la terreur s’installent.

Avec H, Bernard Minier nous propose un 9ème volet des aventures de Martin Servaz aux multiples rebondissements, toujours aussi captivant et angoissant. 

Né à Béziers, il a vécu son adolescence à Montréjeau dans le Comminges, au pied des Pyrénées puis a étudié à Toulouse et Tarbes. À 50 ans, il publie son premier roman « Glacé », en 2011. Traduit en 28 langues, Bernard Minier est l’un des auteurs de thrillers les plus lus en Europe. Il a vendu 6,6 millions d’exemplaires en France et déjà 1,5 million d’exemplaires à l’étranger. H est son 13ème roman. 

Martin Servaz est de retour deux ans après Un œil dans la nuit. Qui entretient cette flamme ? Est-ce que c’est vous ou le lecteur ?

Je pense que c’est un peu les deux. Moi, j’aime bien maintenant ce rythme où l’on retrouve Martin une année sur deux. Tous les ans, ça ferait peut-être beaucoup.

Et je sais que mes lectrices et mes lecteurs ont besoin de Martin Servaz. Je les verrais mal se passer de Martin Servaz pendant un certain temps. Mais j’aime bien l’idée d’alterner entre lui et ma nouvelle guerrière, entre guillemets, Lucia Guerrero, la policière espagnole.

Servaz semble de plus en plus tourmenté. Comment faites-vous évoluer votre personnage ?

Je ne pense pas qu’il soit plus tourmenté qu’au début. Et au contraire, je pense qu’il était peut-être encore plus fragile.

Je pense qu’il est plus désabusé aujourd’hui. Il est plus désespéré peut-être aussi parce que beaucoup de policiers en fin de carrière ont l’impression de vider l’océan à la petite cuillère. Et c’est une lutte sans fin : la lutte contre la criminalité, contre les trafics, contre la délinquance, contre la violence au quotidien. C’est quelque chose qui forcément vous use.

Vous dîtes : « Le truc le plus intéressant pour moi, ce sont les personnages ». Pourquoi ?

Bien sûr. Parce que tout simplement, il n’y a pas de bonne histoire sans bon personnage. Ça n’existe pas. Vous pouvez avoir l’intrigue la plus astucieuse du monde avec un twist extraordinaire à la fin, avec des rebondissements partout, si vous n’avez pas les personnages qui tiennent la route, votre récit, il sera sans intérêt.

Je vous mets au défi de me raconter l’intrigue de pas mal de romans policiers. Ce sont les personnages. C’est Sherlock Holmes, c’est Lisbeth Salander (Millénium), c’est Kurt Wallander de Henning Mankell, c’est Smiley de John le Carré, c’est Maigret.

Vous pouvez avoir l’intrigue la plus astucieuse du monde avec un twist extraordinaire à la fin, avec des rebondissements partout, si vous n’avez pas les personnages qui tiennent la route, votre récit, il sera sans intérêt.

Et puis, je l’ai souvent dit, on peut avoir un roman avec une intrigue, disons, squelettique. Celle de Millenium, par exemple. En fait, si vous en faites un résumé, ça tient une demi-page. Mais à condition qu’on ait de très bons personnages. Parce que le personnage, c’est la vie. Parce que la matière de tout romancier, qu’il soit de genre ou pas, c’est l’humain.

La littérature s’intéresse aux individus pris aussi bien dans leur existence sociale que dans leur vie intime la plus secrète. C’est ça, le cœur du réacteur.

La phase préparatoire est très importante pour vous. Avec de l’immersion par exemple. Est-ce que c’est votre définition de l’écrivain du réel ?

Oui, tout à fait. Je suis un écrivain réaliste. Donc qui dit réaliste, dit bien informé. Vous savez, Milan Kundera disait que l’esprit du roman, c’est l’esprit de complexité : « les choses sont plus compliquées que tu ne le penses ». C’est une phrase que j’ai répétée plein de fois. Mais on ne peut pas montrer cette complexité si on ne sait pas de quoi on parle.

 Moi, il y a une chose que je n’arrive pas à comprendre, et je sais que ça existe. Ce sont les écrivains qui situent des intrigues dans des pays où ils n’ont jamais mis un orteil. Alors ça, ça me dépasse complètement.

Quand on reste à la surface des choses, quand on est ignorant de la réalité, on tombe dans le cliché, dans le stéréotype… Donc pour rendre compte de ce caractère multiforme et contradictoire du réel, il faut travailler, il faut suer un peu, il faut mouiller la chemise, il faut aller au contact, il faut se rendre sur place.

Moi, il y a une chose que je n’arrive pas à comprendre, et je sais que ça existe. Ce sont les écrivains qui situent des intrigues dans des pays où ils n’ont jamais mis un orteil. Alors ça, ça me dépasse complètement.

Déjà, quand vous y allez, il ne faut pas y aller en touriste. Moi, quand j’ai été à Hong Kong (NDLR / pour M, le bord de l’abîme ), j’ai exploré Hong Kong de nuit, et de jour. Mais j’ai surtout été dans les quartiers où les touristes ne vont pas, au contact de la population. Ce n’est pas parce qu’on écrit des thrillers ou de la littérature de genre qui est aussi quelque part un divertissement qu’on n’a pas cette responsabilité de savoir de quoi on parle.

Couverture du dernier livre de Bernard Minier "H"

Couverture du dernier livre de Bernard Minier « H » • © XO Editions

C’est aussi pour ça que vous évoquez beaucoup et vous positionnez vos histoires régulièrement dans les Pyrénées ?

Oui. Effectivement, c’est beaucoup plus facile. J’ai passé 17 premières années de ma vie à Montréjeau aux pieds des Pyrénées. Donc c’est une géographie que je connais très bien, même si elle évolue, elle aussi.  Ce décor est merveilleux. Pour un auteur de polar, c’est un décor, c’est une ambiance absolument extraordinaire.

Moi, vous savez, j’aime bien les auteurs qui ont leur territoire. Et donc moi, j’ai aussi mon territoire.

Vous travaillez donc beaucoup en immersion. Pour un prochain livre, ce sera autour du métier de juge d’instruction ?

Je ne sais pas si ça sera le prochain ou le suivant, parce que ma réflexion est en train d’évoluer. Mais que ce soit le prochain avec ce juge d’instruction, de toute façon, si ce n’est pas l’année prochaine, ça sera l’année suivante, parce que j’ai déjà plein d’éléments.

Si c’est avec Lucia Guerrero, à ce moment-là, je vais retourner en Espagne rencontrer les enquêteurs de l’unité centrale opérationnelle, le service de Lucia. De toute façon, d’ici un mois, je vais être en immersion, c’est sûr.

Vous parlez aussi de la phase de réécriture qui est tout aussi importante pour vous que la phase préparatoire. Comment cela se caractérise ?

Il y a plusieurs phases de réécriture. Il y a déjà ma propre réécriture, c’est-à-dire que tous les matins, quand je me lève au petit-déjeuner, la première chose que je fais, c’est de relire les pages que j’ai écrites la veille. Ensuite, il y a une réécriture plus globale.

Et puis j’aime bien retravailler le texte, j’aime bien ce polissage en quelque sorte du texte, le faire mûrir, le faire progresser. Dans un temps assez court finalement, ce qui n’est pas toujours la meilleure des choses, mais c’est comme ça. Donc oui, il y a le premier jet, je crois que c’est Fred Vargas qui disait que « le premier jet c’est toujours de la merde ».

Moi je réécris au fur et à mesure, si le premier jet n’est pas forcément si mauvais que ça, mais il est toujours perfectible.

Dans H, Martin Servaz n’est plus seul dans la chasse à l’homme, pour retrouver Hirtmann. Vous mettez en avant des groupes d’enquêteurs amateurs, un écrivain, un présentateur TV très, très connu. Tout ça évoque donc la true crime et toutes ses dérives. Que pensez-vous de ce phénomène de true crime, justement ?

Il me laisse perplexe. Il y a toujours eu un intérêt pour les faits divers. Avant même que je naisse, il y avait l’affaire Dominici qui avait défrayé la chronique en France et qui faisait l’une des journaux tous les jours. Après, il y a eu l’affaire Bruay-en-Artois, l’affaire du petit Grégory, et ainsi de suite. Enfin, ça a toujours existé.

Il y avait des magazines spécialisés. Mais aujourd’hui, j’ai l’impression que tout le monde, ou presque, regarde du true crime. Ou écoute du true crime, puisque ça existe en France aussi. Vous en avez sur les plateformes de streaming, vous en avez dans les magazines, vous en avez absolument partout. Et je connais très peu de gens autour de moi que le phénomène ne fascine pas. Et je me demande pourquoi.

Qu’est-ce qui nous attire chez ces criminels ? Qu’est-ce qui nous fascine chez eux ?

Qu’est-ce que ça dit de nous, tout ça ? Quand on lit un roman policier, on sait qu’on lit une fiction. Quand on regarde un true crime, justement, par définition, c’est du crime réel, des criminels existants. Qu’est-ce qui nous attire chez ces criminels ? Qu’est-ce qui nous fascine chez eux ?

Il y a un phénomène qui est encore plus stupéfiant. C’est les tueurs en série, mais aussi la plupart des grands criminels qui reçoivent des centaines de lettres de femmes qui sont des groupies.

En France, c’est le cas de Patrice Allègre Mais qu’est-ce qui attire ces femmes ? Qu’est-ce qu’elles recherchent ? Il faut savoir aussi que 75% des auditeurs de podcasts de true crime sont des auditrices. On n’arrête pas de rappeler que la violence est un phénomène essentiellement masculin, mais la fascination pour la violence n’est pas un phénomène masculin.

En quoi la violence peut-elle, c’est le point fascinant,et  la monstruosité même, peuvent-elles attirer ? Je ne sais pas. Moi, je ne trouve rien d’attirant à la monstruosité, même si j’ai des monstres dans mes livres.

Le Centre National du Livre dit que la lecture est menacée. Quelle est votre réaction ?

Je ne sais pas si la lecture est menacée. Moi, j’étais au salon du Livre à Paris. À 8h30 du matin, il y avait une file d’attente qui était absolument incroyable. Les premières semaines de H, par exemple, on a fait + 10% par rapport à l’année d’avant. Donc on est plutôt en progression qu’en recul.

Est-ce que les gens vont cesser de lire ? Je ne crois pas, non.

Après, oui, il paraît que la lecture recule. Mais regardez les jeunes avec la romance qui se tournent de nouveau vers la lecture. Beaucoup de gens critiquent la romance, mais en attendant, ça les fait lire. C’est naturel quelque part que la lecture recule parce qu’elle est concurrencée par de plus en plus d’autres sources d’informations et de divertissements, les séries télé, les films, les plateformes de streaming, les podcasts, les chaînes YouTube, etc.

Tout ça, moi, quand j’étais adolescent, ça n’existait absolument pas. Donc tout ce qu’on avait, c’était la lecture. Donc il est normal qu’à un moment donné, la lecture diminue. Est-ce que les gens vont cesser de lire ? Je ne crois pas, non. Non, je ne pense pas. Je pense qu’il y aura toujours des populations qui vont vouloir lire.

Lecture d'un livre en braille

Lecture d’un livre en braille • © LIONEL BONAVENTURE / AFP

Vous êtes le parrain du CTEB à Toulouse qui favorise l’accès aux livres en braille. Pourquoi avoir accepté de devenir parrain de cette structure ? Et quel est votre rôle ?

J’ai accepté bien volontiers parce que ça a du sens puisqu’on parle de lecture, justement, qu’on vient d’évoquer à l’instant. On parle de texte. Donc soutenir la lecture, y compris la lecture en braille, ça me paraissait une bonne chose. Et mon rôle, il est tout petit. J’essaie de leur donner un peu de visibilité à mon niveau.

Alors tout ça, c’est formidable. Mais le but, c’est quand même d’avoir de la part du ministère de la Culture et du Centre national du livre un véritable soutien financier parce que pour l’instant, il n’y est pas. Les aides sont très très très faibles, dérisoires même.

Le but, c’est quand même d’avoir de la part du ministère de la Culture et du Centre national du livre, un véritable soutien financier parce que pour l’instant, il n’y est pas. Les aides sont très très très faibles, dérisoires même.

Et aussi, avec le Centre national du livre, on voulait revoir les critères d’attribution des aides aux associations. Alors, madame la ministre Rachida Dati explique qu’il y a un grand portail numérique qui est en train de se préparer pour les malvoyants et les non-voyants. C’est très bien comme initiative.

Sauf que ça ne résout pas le problème du braille. Il y a beaucoup de personnes âgées qui ne sont pas forcément très douées avec les outils numériques. Il y a plein de domaines comme ça où on est en train d’exclure tout un pan de la population parce qu’il faut tout faire par internet. Bientôt, on n’aura plus le choix. Il n’y aura plus de papier.

Le braille est encore lu par des dizaines de milliers de personnes en France. Donc j’ai vu Mme Dati, j’ai vu sa directrice de cabinet au mois de janvier, j’ai vu le directeur du Centre national du livre. Et j’attends les résultats, parce qu’ils m’avaient promis qu’ils reviendraient vers moi rapidement. Je vais les relancer. Mais bon, c’est compliqué.

Alors H, votre dernier ouvrage est sorti en braille. Est-ce que c’est difficile de proposer un livre en braille ? Je crois qu’il y a des coûts qui sont extrêmement importants.

Le CTEB fait un travail extraordinaire. Les livres en braille coûtent beaucoup plus cher à fabriquer. Ils sont vendus au prix unique du livre. C’est la volonté. Donc ça veut dire quoi ? Ça veut dire qu’à chaque livre vendu, ils perdent de l’argent. Plus ils vendent de livres, plus ils perdent d’argent. Donc évidemment, il faut des fonds, il faut des aides. Chacun peut contribuer aussi via le site internet de l’association.

Le CTEB, le centre de transcription et édition en braille, a besoin d’être financé parce que sinon, les livres seront à des prix que personne ne pourrait s’offrir. Or, le but, c’est un accès égal à la lecture pour tous, un accès égal à la culture pour tous. Voilà. C’est de ne pas exclure toute cette frange de la population. 50% des malvoyants en France et des non-voyants sont au chômage.

 Le CTEB, le centre de transcription et édition en braille, a besoin d’être financé parce que sinon, les livres seront à des prix que personne ne pourrait s’offrir. Or, le but, c’est un accès égal à la lecture pour tous, un accès égal à la culture pour tous.

Donc on ne va pas les exclure encore un peu plus. Et beaucoup continuent à lire le braille parce que le braille, c’est le texte intégral. Ce n’est pas le livre audio. C’est le texte intégral avec les points, les virgules, avec les italiques. Le braille, c’est aussi l’apprentissage de l’orthographe, de l’écriture. C’est plein d’autres choses.

Le livre audio, c’est bien, mais c’est une adaptation. Ce n’est pas le texte.

Donc qu’est-ce qu’il faudrait faire ? S’il y avait une ou deux démarches à faire ou choses à faire ou que vous demanderiez aux collectivités ?

Il faut revoir les critères d’attribution des aides. Ce en quoi, d’ailleurs, le directeur du Centre national du livre que j’ai rencontré est d’accord. Mais là, il faut que ça bouge. Il faut organiser un groupe de travail. Mais sinon, il a reconnu lui-même qu’il fallait revoir les critères d’attribution des aides. Donc ça, c’est une première chose.

La deuxième chose, c’est que le CTEB qui fait un travail extraordinaire avec peu de moyens, c’est 10 salariés et 40 bénévoles, touche royalement du ministère de la Culture 20 000 € par an. Parallèlement, le portail numérique pour les non-voyants et les malvoyants va coûter plusieurs millions d’euros.

On ne leur demande pas des millions d’euros. 200 000 €, ça équilibrerait leur budget pour une année au lieu d’être obligé de chercher à droite et à gauche.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse

Publications similaires :

4.000 kilomètres de pèlerinage à pied en compagnie d’un bouc et de deux chiens « On a un centre historique fragile », le risque d’effondrement de dizaines de bâtiments au cœur de la future campagne des municipales il se prend un coup de couteau « Il n’y a pas de problématique de structure alarmante », la majorité des habitants de cet immeuble évacué autorisée à rentrer chez eux prévisions du lundi 21 avril 2025 bonne nouvelle pour les producteurs, le secteur du bio reprend des couleurs l’agneau sera plus cher cette année pour Pâques Top 14 – Stade Toulousain : Mauvaka capitaine, Chocobares de retour, la composition pour le déplacement à Paris Un vigile sauvagement poignardé entre la vie et la mort, ses agresseurs interpellés prévisions du vendredi 18 avril 2025 CARTE. Où trouver les meilleurs chocolats de Pâques ? Une cheffe cuisinière partage ses adresses coups de cœur prévisions du mardi 15 avril 2025 « Un joyaux méconnu de l’art baroque » véritable trésor caché en centre-ville, la chapelle des Carmélites, rouvre ses portes après rénovation Futsal : l’UJS Toulouse s’effondre à Nantes La saison des courses landaises redémarre, une tradition ancienne qui fait vibrer le Sud-Ouest. On vous raconte son histoire. Un enfant sur 5 est atteint d’un défaut d’émail dentaire, comment détecter et soigner cette pathologie qui augmente les risques de caries Au nord de Toulouse, un feu d’appartement se déclare la même nuit et à proximité de l’incendie d’une Tesla Un homme de 35 ans en urgence absolue après une nouvelle attaque à l’arme blanche en pleine nuit Les habitants de 3 immeubles évacués en centre-ville en raison d’un nouveau risque d’effondrement d’un bâtiment Tesla : une voiture de la marque d’Elon Musk brûlée en pleine nuit sur le parking d’un vendeur aux enchères, la piste criminelle privilégiée prévisions du samedi 19 avril 2025 L’eau coupée dans 15 bâtiments toute la nuit, après la rupture d’une canalisation, vers la Place Dupuy à Toulouse Deux chercheuses d’Occitanie primées par le Human Frontier Science Program DIRECT. Reims-TFC : Toulouse veut mettre fin à la série noire ! Suivez le match de Ligue 1 en live « On craint que ça déborde », Trois voitures en feu devant le domicile d’un gardien de prison, une enquête ouverte

Primary Sidebar

  • 20 MINUTES TOULOUSE
  • ACTU.FR
  • FRANCE BLEU TOULOUSE
  • FRANCE 3 REGION
  • L’OPINION
  • LA DEPECHE
  • LE JOURNAL TOULOUSAIN
  • LA CROIX TOULOUSE
  • FRANCE INFO TOULOUSE
  • BFM TOULOUSE
  • HUFFINGTONPOST TOULOUSE
  • LE PARISIEN 31

DERNIERS ARTICLES

  • Toulouse et l’Occitanie au cœur de la stratégie spatiale de France 2030
  • « On peut faire face à quelques pénibles » : un service toulousain déloge désormais les fauteurs de troubles des résidences privées
  • « Bonnefoy n’a pas perdu son âme » : avant et pendant les travaux du métro, les différents visages du quartier raconté par un commerçant
  • Finale Stade Toulousain – UBB en Top 14 : « Normalement, je dors à 21 heures ! » Pourquoi il ne faut pas croire ce joueur star des « rouge et noir »
  • le rapide mais impressionnant orage en Haute-Garonne
  • l’habitante transportée en urgence absolue à l’hôpital
  • Orages : plusieurs trains supprimés sur la ligne Paris – Limoges – Brive
  • Véronique Sanson, Dee Dee Bridgewater et Pierre de Maere au cœur de l’été
  • un feu de chaume mobilise les sapeurs-pompiers
  • « 70 % de prévenus racisés en comparution immédiate » : pourquoi le réquisitoire choc de la LDH crée la controverse à Toulouse
  • Un garçon de 12 ans décède dans le Tarn-et-Garonne à cause des violents orages
  • En Haute-Garonne, le Département muscle son engagement pour la solidarité sociale
  • TFC : « Bon garçon qui colle avec l’ADN », « enfant du club »… Seny Koumbassa, nouveau Pitchoun qui signe son premier contrat professionnel
  • Près de Toulouse. Ce supermarché annonce son ouverture en 2026 : un coup de poker ?
  • le ventre de Toulouse s’agrandit avec « un bâtiment dernière génération »
  • un supermarché venu du futur s’installe à Toulouse
  • un coup de ciseaux gratuit pour bien commencer l’été à destination des familles les plus démunies
  • Orgue, harpe, menthe et clou de girofle : on a assisté à un concert insolite où l’on « goûte la musique »
  • François Petit, Serge Lopez, Kiko Ruiz… Les concerts du « Jardin musical » vont redonner vie à un jardin public de Jolimont
  • Météo. Après les fortes chaleurs, une baisse des températures annoncée à Toulouse et en Occitanie
  • Entre Toulouse et Agde, “Échappées Belles” explore les trésors du canal du Midi Canicule, horaires avancés : voici comment vont ouvrir vos déchetteries cet été « J’irai jusqu’au tribunal » : le président de la Haute-Garonne prêt à tout pour le congé menstruel L’usage de l’eau désormais limité dans ces bassins d’Ardèche (êtes-vous concerné ?) Chaleur écrasante suivie d’un déluge : le Lot-et-Garonne en ligne de mire des orages ce mercredi “Falcon Express” : le film d’animation toulousain s’offre une avant-première magique à Blagnac Crèches à Toulouse : l’audit choc qui épingle la gestion municipale À Toulouse, cette boutique vous propulse en 2050 (et certains objets sont déroutants) Nouveaux tarifs Tempo à Agen : êtes-vous concerné par ces changements ? Concertation citoyenne à Allos : la station du Seignus va-t-elle disparaître ? C’est quoi ces explosions que l’on entend venir des champs du Lauragais ?
  • Avec la chaleur, le chaume brûle, une moissonneuse également
  • Municipales 2026. Près de Toulouse, la mairie de Colomiers voulait-elle interdire une réunion de LFI ?
  • le Tarn-et-Garonne passe (bientôt) en vigilance orange, voici quand
  • les propositions sur la table
  • huit hectares de champs sont partis en fumée
  • La finale du Top 14 entre Toulouse et Bordeaux-Bègles en dix chiffres
  • Deux platanes centenaires s’effondrent à Merville
  • Météo : Toulouse ferme ses jardins plus tôt face à l’alerte orange pour orages violents
  • un chantier urbain d’envergure pour 759 logements dans le quartier Papus
  • Inconnu de la justice, un homme arrêté alors qu’il allait vendre un kilo de cocaïne
  • il va bientôt fermer pour un tout autre projet
  • Toulouse dans le Top 10 des villes de France où il fera le plus chaud d’ici 2100
  • Des moyens supérieurs pour les crèches de la 3e ville de France, mais « le taux d’occupation réel moyen est insuffisant »
  • la déroutante recherche d’une automobiliste sur les airbags Takata
  • Top 14 – Stade Toulousain : Bastien Vergnes-Taillefer, le Haut-Garonnais de l’UBB qui va affronter le Stade
  • Grève des contrôleurs aériens, des perturbations importantes à prévoir dans les aéroports (dont Toulouse)
  • Municipales : 69 femmes de gauche s’unissent pour Toulouse
  • ENTRETIEN. TFC : « Le président sera nommé dans les prochaines semaines »… Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, raconte les coulisses de l’entretien avec Neil Chugani
  • François Piquemal nie et porte plainte
  • À Toulouse, 54 (nouveaux) experts-comptables ont prêté serment lors d’une cérémonie solennelle
  • le Ballet du Capitole sacré Meilleure Compagnie chorégraphique de l’année
  • cette académie figure parmi les plus performantes du pays
  • les risques et les règles à connaître
  • un roman sur la précarité, la prostitution, la quête de soi et le deuil d’un étudiant homosexuel
  • « Une nécessité vitale » : le département de la Haute-Garonne présente et assume sa bifurcation écologique
  • la police municipale renforce ses effectifs avant la période estivale
  • « Nous voulions tous les deux vivre de notre passion » : mode 100 % toulousaine, la boutique Mer. fils séduit avec ses créations locales signées mère et fils
  • « Je n’ai pas su me maîtriser »… Il avait envoyé le petit ami de sa sœur à l’hôpital, les regrets d’un champion de taekwondo
  • bien que protégée, une zone agricole en danger

Footer




Ô Toulouse est un site indépendant qui rassemble l’essentiel de l’actualité toulousaine : info locale, société, culture, politique, météo, faits divers et initiatives citoyennes. Tout ce qui fait battre le cœur de la Ville rose, au quotidien.

 

  • 20 MINUTES TOULOUSE
  • ACTU.FR
  • FRANCE BLEU TOULOUSE
  • FRANCE 3 REGION
  • L’OPINION
  • LA DEPECHE
  • LE JOURNAL TOULOUSAIN
  • LA CROIX TOULOUSE
  • FRANCE INFO TOULOUSE
  • BFM TOULOUSE
  • HUFFINGTONPOST TOULOUSE
  • LE PARISIEN 31