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ces 4 stations font déjà d’autres choix pour s’adapter

22 avril 2025 — ACTU.FR

Dans les Pyrénées, la saison de ski s’est achevée ce 21 avril avec les fermetures de Cauterets et Piau-Engaly. En Haute-Garonne, la page de la saison de ski s’est tournée quelques jours plus tôt. Si ces derniers hivers, le climat n’avait pas été très prodigue en neige, cet hiver 2024-2025 a apporté des conditions plutôt favorables aux quatre stations du département qui ont toutes tiré, à leurs niveaux respectifs, leur épingle du jeu. Peyragudes a ouvert quatre mois et a battu un record de fréquentation, Superbagnères s’est relancée avec sa crémaillère express. Le Mourtis a vécu un début de saison canon grâce aux belles chutes de neige de décembre. Quant à Bourg-d’Oueil, « la petitoune », elle s’est payée un buzz national en ouvrant pendant plusieurs jours gratuitement une partie de son domaine skiable.Pour autant, les quatre stations de Haute-Garonne ne se bercent pas d’illusion. Ces 30 dernières années, le climat a changé dans les Pyrénées. La neige était déjà plus rare en dessous de 1500 mètres depuis la fin du siècle dernier, c’est désormais entre 1500 et 1600 mètres qu’il est difficile de maintenir un manteau neigeux constant sur toute la saison en raison du yoyo fréquent des températures. Si l’on se réfère aux dernières études scientifiques, les périodes de neige se réduiront dans les Pyrénées à horizon 2050. À moyen terme, à des degrés divers, les quatre stations du département seront fragilisées ce que n’a pas manqué de souligner un rapport de la cour des comptes en 2024. Un rapport qui a souligné la vulnérabilité de la plupart des stations des Pyrénées face au changement climatique. Bourg-d’Oueil a même été classée la station de ski la plus vulnérable de toute la France à ce niveau.La station de ski d’Hautacam en a tiré quelques conclusions : après trois hivers compliqués, cette station des Hautes-Pyrénées, située à 1500 mètres d’altitude, a décidé de fermer définitivement son domaine skiable.Les stations de Haute-Garonne ont décidé, pour l’heure, d’emprunter un autre chemin. Voici ce qui est envisagé dans nos quatre stations de Haute-Garonne pour que la pratique du ski survive ces prochaines décennies.

Peyragudes la mieux préparée

Peyragudes est clairement la station la mieux préparée pour faire face. Pionnière de la neige de culture dans les années 90 qui avaient déjà vu plusieurs hivers au régime nival sec, la station située à cheval entre la Haute-Garonne et les Hautes-Pyrénées peut déjà s’appuyer sur son réseau de canon à neige. Un réseau qu’elle fera désormais « évoluer à périmètre constant, selon les évolutions de la technologie », a annoncé son directeur, Laurent Garcia, à Actu Toulouse.

Comme lors de l'hiver 202
Comme lors de l’hiver 202″-2024, la neige peut venir à manquer à 1600 mètres d’altitude. Peyragudes peut alors compter sur son réseau de canons à neige. Mais la station envisage des évolutions pour s’adapter à la hausse des températures enregistrées en altitude. (©Capture d’écran Google)

Pas de course à l’armement de la neige artificielle

Il n’y aura donc pas de « course à l’armement » du côté de Peyragudes qui suit déjà son manteau neigeux en temps réel avec le logiciel Snowsat ce qui lui permet de préparer ses pistes en conséquence. « Cela nous permet de savoir en temps réel l’état de la piste sous la dameuse, et notamment la quantité de neige que l’on y trouve et l’état de ce manteau neigeux. Cela nous sert de guide dans notre stratégie d’enneigement des pistes », expliquait il y a quelques mois le même directeur à Actu Toulouse. Une manière d’être plus stratégique et de ne pas gaspiller la ressource en eau nécessaire pour produire de la neige de culture, et nécessaire pour bien d’autres besoins plus primaires en montagne et dans les vallées.

Un domaine skiable qui évolue

Malgré ce réseau de canons qui lui assure une base solide, Peyragudes a déjà admis qu’il lui faut s’adapter. C’est ainsi qu’elle a modifié les contours de son domaine skiable ces deux dernières saisons, en étendant ce domaine à plus haute altitude, via un téléski, et surtout, en délaissant deux pistes historiques de la station, la Vallée Blanche et le Val des Lumières, qui terminent leurs courses en dessous de 1500 mètres.

« La Vallée Blanche n’a pas été ouverte cette année, le bas du Val des Lumières non plus, confirmait il y a quelques jours Laurent Garcia. On ne cherche pas à batailler pour maintenir ces itinéraires, ils vont être promus pour des itinéraires en raquettes quand il y aura de la neige. Ils ne seront pas réinvestis en canon à neige ».

À l’inverse, l’extension du domaine vers le Cap de Hittes, plus haut sommet du domaine skiable, a été validée par les skieurs. « Nous avons enregistré 50 000 passages sur le téléski Cap de Hittes, ce qui confirme le succès de ce secteur apprécié des bons skieurs », apprécie Laurent Garcia qui souligne que l’avenir de la station se situe plutôt entre 1900 et 2400 mètres.

Adapter les remontées mécaniques

À plus long terme, Peyragudes réfléchit à adapter son réseau de remontées mécaniques à la nouvelle donne climatique et à la diversification des activités sur le domaine, hiver comme été.

Des « stations intermédiaires » pourraient ainsi voir le jour, vers 1900 mètres d’altitude, avec l’utilisation de remontées mécaniques mixant télésièges et télécabines. Ceci pour permettre aux vététistes et randonneurs de monter plus haut sur le domaine. Ou aux skieurs d’atteindre le haut du domaine déchaussés si la neige venait à être absente sur le front de neige de la station. Des changements qui s’opéreraient à horizon 2030.

À plus court terme, la station va concentrer ses efforts sur l’adaptation du domaine skiable au yoyo des températures en altitude et conforter le développement d’une politique tournée vers un fonctionnement quatre saisons de la station.

Des investissements

« Du côté des Agudes, nous avons décidé de remplacer le téléski des Barbioules, long de 450 mètres, par un tapis. L’hiver, ce tapis servira au ski pour les débutants, tout en nous permettant de produire beaucoup de neige pour assurer la glisse des skieurs le long du téléski. Et l’été, le tapis permettra de monter des VTT et offrira un joli terrain de jeu aux vététistes », explique Laurent Garcia

Peyragudes annonce en effet qu’elle veut rouvrir la station des Agudes (versant situé en Haute-Garonne) l’été. « C’est en projet pour l’été 2027 avec des investissements fléchés pour 2026. On devrait être en capacité de proposer une activité estivale et donner envie aux gens du Comminges, et de Toulouse de rejoindre les Agudes. L’idée, c’est de capter la clientèle qui viendra avec la nouvelle ligne SNCF l’été », indique Laurent Garcia.

Trois autres stations qui s’adaptent

Face à la grande station du département, les trois autres stations, gérées par le Département de Haute-Garonne, via le syndicat mixte de Haute-Garonne, ne veulent pas s’en laisser conter. Sans se comparer, elles avancent elles aussi leurs pions. Après plusieurs hivers difficiles, cette saison de ski 2024-2025 a d’ailleurs permis d’affiner une stratégie pour proposer un trio de stations complémentaires avec une offre qui s’adapte aux conditions de neige. Avec là aussi, sur le plus long terme, une diversification des activités.

Avec 5,7 millions de chiffres d’affaires et 185 156 journées ski validées sur les trois stations pour cette saison de ski, la stratégie mise en place semble avoir payé. Même s’il faut le rappeler, la station de Superbagnères enregistrait à elle seule 215 000 journées ski lors de l’hiver 2014-2015, il y a pile dix ans.

L’élan de la crémaillère-express

C’est forcément la station de Superbagnères qui a le plus tiré son épingle du jeu avec une hausse du nombre de skieurs par rapport aux années précédentes mais aussi une part non négligeable de piétons qui est montée sur le plateau avec une autre idée en tête que skier.

« On voit que la télécabine prépare déjà la diversification. Sur la saison, 67 358 piétons sont montés sur le plateau, et sont allés admirer le paysage, manger dans les restaurants sans chausser les skis. On est surpris par ce nombre de piétons. Notre choix est validé pour cet outil de diversification », indique à Actu Toulouse Maryse Vezat-Baronia, la présidente de Haute-Garonne Montagne. Une télécabine qui marchera à nouveau du 4 juillet au 31 août pour la saison estivale avec en point d’orgue le retour du Tour de France.

La longue ouverture du Mourtis

La station du Mourtis, après des hivers très compliqués, a pu ouvrir sur une longue durée, soit quasiment trois mois sans stopper l’activité ce qui n’est désormais pas une mince affaire entre 1300 et 1400 mètres d’altitude, soit la zone la plus basse de la station.

« Cette saison, on est resté ouvert du 14 décembre jusqu’au 9 mars de façon permanente. Ce n’était plus arrivé depuis 2022. Nous avons eu un pic de fréquentation à Noël, avec 15 117 journées ski qui ont été enregistrées en quinze jours, soit une moyenne de 1 000 skieurs par jour. La fréquentation s’est bien répartie sur les quatre semaines des vacances d’hiver », expliquait il y a quelques semaines à Actu Toulouse, le directeur adjoint de la station, Baptiste Rabasse.

Après les bonnes chutes de décembre 2024, la station a dû s’adapter à une météo moins favorable.

« On a réussi à avoir une ouverture en continu. Il y a eu des chutes de neige porteuses en décembre, c’était moins vrai après. C’est le travail des équipes qui a permis de consolider cette neige naturelle. On s’est beaucoup adapté », confirme Maryse Vezat-Baronia.

Le Mourtis a composé avec les éléments

Ce que détaillait déjà Baptiste Rabasse :

« Après les bonnes chutes de neige de décembre, nous avons beaucoup travaillé sur l’épaisseur de neige sur nos pistes ce qui nous a permis de résister au moins deux semaines après que la neige a fondu à basse altitude. En février, nous avions aussi relancé la production de neige grâce à une période de froid. S’adaptant aux conditions météo, le Mourtis a également réduit progressivement le nombre de pistes ouvertes, se concentrant sur deux grandes pistes et tout le front de neige pour les débutants ».

Il poursuivait :

« C’est cette adaptabilité qui permet de maintenir une activité tout l’hiver dans de bonnes conditions et qui fait du bien à tout un tissu économique et tout un territoire. Car pour un euro dépensé pour skier ce sont 5 à 6 euros qui sont dépensés sur le territoire », se félicitait Baptiste Rabasse qui rappelle combien l’activité des stations de ski est importante pour les hautes vallées pyrénéennes.

Priorité à certaines pistes

Un domaine qui évolue en fonction des conditions de neige. Une priorité donnée aux pistes « colonnes vertébrales » de la station et au bas du domaine, pour répondre à la demande d’une clientèle familiale, c’est la recette qui a permis au Mourtis de bien passer l’hiver. Au préalable, la station avait fait le choix de ne pas ouvrir son versant exposé au soleil. Une stratégie qui sera reconduite le prochain hiver.

Très exposée au changement climatique, Bourg-d’Oueil a connu un de ses meilleurs hivers des dernières années. Il faut dire que les périodes d’ouverture du domaine skiable sont de plus en plus réduites. Et qu’une stratégie de diversification des activités est déjà lancée.

Bourg d’Oueil, le choix de la souplesse

Pour autant, Bourg d’Oueil a pu proposer l’ensemble de son domaine skiable pendant les vacances de Noel, avant de réduire progressivement la voilure pendant les vacances de février. Sa proposition de donner accès gratuitement à ses pistes encore ouvertes aux skieurs a fait parler d’elle.

Ouvrir deux pistes sur les sept de la station pendant plusieurs jours, « c’est un choix technique et d’adaptation aux conditions actuelles que nous offre la montagne. C’est un choix qui nous permet de maintenir une activité importante pour l’économie de la vallée. C’est un choix qui a permis de mettre un bon coup de projecteur sur la station ces derniers jours », expliquait alors Baptiste Rabasse.

Un choix qui ne pèse pas lourdement sur l’économie du syndicat mixte Haute-Garonne Montagne. Baptiste Rabasse rappelait l’échelle de grandeur à Actu Toulouse :

« Bourg d’Oueil, c’est 1 % de l’affluence globale de nos trois stations. C’est un bon chiffre pour Bourg d’Oueil mais c’est à mettre en perspective avec l’affluence globale de nos trois sites. Les recettes de Bourg d’Oueil pèsent peu dans l’équilibre financier des trois stations ».

Du côté de Bourg d'Oueil, les périodes d'ouvertures sont restreintes. Pour autant, le Département, qui gère la station via le syndicat mixte Haute-Garonne Montagne, ne prévoit pas de fermeture du domaine skiable à court terme.
Du côté de Bourg d’Oueil, les périodes d’ouvertures sont restreintes. Pour autant, le Département, qui gère la station via le syndicat mixte Haute-Garonne Montagne, ne prévoit pas de fermeture du domaine skiable à court terme. (©Illustration/CD31)

Bourg d’Oueil : pas de fermeture à court terme selon le Département

Avec de la souplesse, l’appui du conseil départemental et l’activité des bénévoles qui font vivre la station depuis des décennies, Bourg d’Oueil a pu ouvrir. Cela pourra-t-il durer encore longtemps ?

Pour Baptiste Rabasse, c’est une formule viable. Il s’en était longuement expliqué auprès d’Actu Toulouse :

« Sans se battre contre les éléments climatiques, tant que nous pourrons maintenir l’activité ski sur Bourg d’Oueil, nous la maintiendrons. L’avenir de Bourg d’Oueil ne passera pas par des investissements lourds mais par l’exploitation de l’infrastructure actuelle, qui est maintenue en bon état, et une proposition quatre saisons toute l’année et à l’intérieur même de la saison de ski. L’on sait en effet que pour un skieur, il y a en moyenne quatre accompagnants. Il faut donc que ces accompagnants puissent faire d’autres activités que le ski pendant la journée, puis, que des activités variées soient proposées après le ski. Quant aux périodes d’ouvertures, l’on restera vraisemblablement sur les périodes des vacances scolaires car l’affluence est bien moindre hors vacances. Ensuite, il nous sera difficile d’envisager ouvrir pour de très courtes périodes, sur un seul week-end par exemple. S’adapter fait partie de notre métier, mais ouvrir une station de ski, même partiellement, demande de la maintenance sur le matériel, du travail de damage et de sécurisation du site. Tout un travail d’anticipation sur plusieurs jours, et faire ce travail pour un ou deux jours d’ouverture, ne serait pas un bon modèle ».

« Aller jusqu’au bout de ce qui est possible de faire »

Maryse Vezat-Baronia confirme ce modèle :

« Il faut maintenir l’activité ski jusqu’à ce qu’on ne puisse plus. On va aller jusqu’au bout de ce qui est possible de faire. L’étude Climsnow (une étude qui va permettre aux stations de ski de mieux visualiser ce que sera l’enneigement pour chacune d’entre elle, ndlr) mise en place va nous permettre d’objectiver quelles vont être les évolutions, les changements climatiques à horizon 2050. Ceci pour être le plus pertinent dans les investissements que l’on va prendre et être crédible auprès de futurs investisseurs. Nous allons donc voir ce que Climsnow va nous dire pour adapter nos investissements ».

Sur Bourg-d’Oueil, le ski devra continuer à exister sans nouvelle infrastructure, si ce n’est la maintenance du matériel en place. Le devenir de la station pourrait donc se poser quand le téléski arrivera en fin de vie.

Le télésiège à changer au Mourtis

Du côté du Mourtis, un gros changement est à venir. « Il y a un télésiège à changer d’ici cinq ans. La réflexion va avancer. Nous irons certainement vers un télésiège hybride qui permettra de transporter des VTT. Il faudra également se poser la question de l’emplacement le plus pertinent pour ce télésiège qui remplacera l’actuel. Il y a une belle dynamique de diversification au Mourtis autour du vélo et de la randonnée, et d’autres activités. Il faut la conforter.

Réflexion à mener autour du secteur Téchous à Superbagnères

Quant à Superbagnères, il y a là aussi quelques investissements à prévoir autour des télésièges. Ainsi qu’une réflexion sur le devenir du secteur Téchous, le plus fragilisé de la station en raison de sa forte exposition au soleil. « Là aussi, l’étude Climsnow, nous en dira plus », estime Maryse Vezat-Baroni qui conclut :

Chacune de nos trois stations a son utilité, son rôle à jouer. C’est une complémentarité. L’une se nourrit de l’autre. Il y a une vision territoriale du ski en Haute-Garonne. Ce sont des stations à taille humaine. C’est ce qui séduit le public toulousain.

Le laboratoire haut-garonnais autour de l’adaptation des stations de ski de Haute-Garonne ne fait donc que commencer.

https://actu.fr/toulouse

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