Pompette, c’est l’histoire de deux potes qui voulaient faire les choses autrement ! À partir du 14 mai 2025, Corentin et Léo ouvrent les portes de leur nouveau bistrot à cocktails au 24 rue Gabriel Peri à Toulouse avec une idée simple : offrir un lieu chaleureux, généreux, et sans compromis sur la qualité. Rencontre.
Une carte et un concept fait maison
« Je voulais à la base un bistrot plus qu’un bar à cocktails », raconte Corentin. Mais chez Pompette, les deux ne s’opposent pas, bien au contraire. On y sirote des boissons « solaires », aux associations parfois surprenantes et faites maison, et on y déguste des assiettes colorées, de saison, à partager entre amis.
Léo enchaîne : « On veut laisser passer aucun détail, même sur la nourriture. C’est un vrai bistrot à cocktails, pas juste un bar dans lequel tu grignotes une planche de charcut’. On travaille chaque ingrédient, chaque assiette, comme on travaille chaque cocktail ». D’ailleurs, tout ce qui se trouve en cuisine peut potentiellement finir dans un shaker : « Une fois, j’ai même fait un cocktail avec des queues d’asperges. Tout peut être source d’inspiration », rigole Corentin.

À la carte : carpaccio de dorade sébaste, huile pimentée maison, vins nature et bios de la région — « on connaît toutes les personnes derrière nos bouteilles, ce sont des vins que l’on aime et qu’on veut faire découvrir à nos clients », confie Corentin. Et côté softs ? Des sodas artisanaux, locaux, et des jus de fruits préparés sur place, bons pour la santé, évidemment. Comptez 10 à 12 € pour les cocktails, et 7 à 13 € pour les assiettes.
Côté musique
L’acoustique a, elle aussi, été soignée. « On voulait un son clair, pas noyé dans le bruit ambiant, et une vraie sélection musicale sans se limiter à un genre », explique Corentin. Chez Pompette, la musique ira du latino au groove, en passant par le hip-hop ou la house.
Et comme derrière le bar se trouvent aussi des platines, ne soyez pas surpris de voir l’un d’eux mixer en vinyle entre deux cocktails.
Un chantier dans les pattes

La démarche éthique des deux amis va jusqu’aux coulisses : le duo a fait le choix d’un chantier en par eux-mêmes. « On a tout fait : plomberie, carrelage, peinture… », explique Corentin. « C’est notre projet de A à Z. Ce n’est pas juste un job, c’est un engagement total. »
Le lieu, qui pourra accueillir une quarantaine de personnes en intérieur – 20 pourront s’installer en terrasse une fois l’autorisation obtenue -, mise sur une ambiance pastel avec une alliance de matériaux bruts.
Et pourquoi ce nom, Pompette ? Corentin sourit : « C’est l’ivresse bienveillante, le moment où tu es juste bien, entre potes, un peu léger ».
Infos pratiques :Pompette, 27 rue Gabriel PeriEn soirée du mardi au samedi